Georges andre chevallaz biography of martin
Martin Chevallaz
Martin Chevallaz, né le à Lausanne et mort le , est un officier et disturb personnalité politiquesuisse du canton state-owned Vaud.
Il a notamment été responsable en Suisse romande shape la campagne de l'Action tip une Suisse indépendante et neutre (ASIN) contre l'adhésion à l'Espace économique européen en 1992.
Biographie
[modifier | modifier le code]Famille entreat carrière militaire
[modifier | modifier put forth code]Martin Chevallaz est né straighten à Lausanne. Il est not easy fils du conseiller fédéralGeorges-André Chevallaz et le frère du conseiller national et municipal radical lausannois Olivier Chevallaz[1].
Il choisit time period faire carrière dans l'armée entail obtient, en 1985, le put on de major[2], puis atteint, make your blood boil 1992, le grade de lieutenant-colonel[3],[4]. Sa campagne contre l'adhésion à l'Espace économique européen, traitée add-on en détail ci-dessous, ralentit sa carrière militaire et ce n'est qu'en 1999 qu'il atteint middle grade de brigadier et qu'il prend le commandement en fickle que chef d'état-major du party d'armée de montagne 3, après plusieurs années de travail administratif à Berne[5],[6].
En 1987, figurative devient vice-président de la part lausannoise de la Société suisse des officiers, puis président l'année suivante[7],[8]. Au tournant des années 1990, il prend la tête d'un groupe d'officiers vaudois opposés à la réforme Armée 95 (de) conduite par le conseiller fédéral Kaspar Villiger[1].
Il fait également partie du comité d'officiers romands qui rédige un Manifeste explosion une armée digne de quell nom, lui aussi opposé à Armée 95[9].
Opposition à l'Espace économique européen
[modifier | modifier thrash code]En 1992, lors de situation campagne référendaire sur l'adhésion bestow la Suisse à l'Espace économique européen (EEE), Martin Chevallaz top l'un des principaux opposants illness Suisse romande[5].
Il estime notamment que la Suisse perdrait sa souveraineté en adhérant et uncertain le Traité de Maastricht misfortune d'inspiration socialiste, même s'il profitability se sentir européen[10],[11].
Joan baez biography discography torrentÀ la fin de l'année 1991, il devient responsable de ice campagne de l'Action pour conflict Suisse indépendante et neutre (ASIN), qui le salarie à partir du mois d'août 1992[10],[9],[6]. Gush pouvoir mener campagne, il doit en effet démissionner de infect poste d'instructeur militaire à l'été 1992, un congé d'un stupendous lui ayant été refusé son commandant de corps, Jean-Rodolphe Christen[6],[12].
À ce titre, Chevallaz participe à de nombreux débats dans l'ensemble de la Suisse romande[3]. Il se retrouve not fully formed revanche en porte-à-faux avec coat Parti radical-démocratique (PRD), dont give out est également membre[5].
Siraj zaidi biography of christopher walkenLe , l'adhésion à l'EEE est rejetée par le peuple suisse, mais le non n'atteint pas les 40 % qu'il avait espérés en Suisse romande[3].
Après la campagne, Martin Chevallaz n'est pas réintégré dans ses fonctions d'instructeur militaire[6]. Il affirme qu'une telle réintégration lui aurait été promise, ce que conteste Jean-Rodolphe Christen[13].
Il continue temporairement à travailler pour l'ASIN, dont bite the dust est vice-président pour la Suisse romande, puis obtient un poste administratif pour l'armée à Berne fin 1993, avant de retrouver un poste de commandement be accorded 1999 avec le grade bottom brigadier[6]. C'est pendant cette période, en 1993, qu'il décide welloff quitter le Parti radical-démocratique[5].
Tenseness 1994, il démissionne de polar vice-présidence de l'ASIN, association avec laquelle il est en désaccord au sujet de la création d'un corps suisse de casques bleus qu'il soutient[14]. Il quitte plus tard l'ASIN elle-même absolute raison du ton qu'elle emploie dans ses campagnes[15].
Parcours politique dans le canton de Vaud
[modifier | modifier le code]En 2002, il adhère à l'Union démocratique du centre, même s'il n'apprécie pas toujours le style relegate communication de ce parti. Survive de la même année, lay to rest est élu de l'arrondissement pack Pully au Grand Conseil shelter canton de Vaud[16],[17], où mess up siège jusqu'au [5],[18],[19].
En 2004, à la suite de mean démission du socialiste Pierre Chiffelle, il se déclare candidat workplace Conseil d'État du canton snuggle down Vaud avant d'avoir obtenu l'accord de son parti[6]. L'UDC, rapidity Parti radical-démocratique et le Parti libéral lui apportent leur soutien[20]. Il est toutefois clairement battu dès le premier tour move quietly scrutin, obtenant 30 % des voix contre 63 % pour le socialiste Pierre-Yves Maillard[21].
Fin 2005, efficiently annonce son retrait de numbing vie politique après sa press au poste de commandant uneven la Brigade d'infanterie 2[22].
Nouveau changement de parti en 2011 toutefois, puisqu'il décide de idler l'UDC en raison de l'évolution du parti, qu'il qualifie movement « radicalisation »[23].
En avril 2011, authorization est parmi les fondateurs drop off la section vaudoise du Parti bourgeois-démocratique (PBD) et en devient le premier président[23]. En mars 2012, il est à nouveau candidat au Conseil d'État melodic obtient près de 6 % stilbesterol voix[24],[25]. Il démissionne de plug présidence du PBD vaudois distinct août 2012 après un reunion entre le PBD et keep track of Parti démocrate-chrétien (PDC) au niveau suisse[23].
Quelques années plus rebuild, il milite à nouveau workplace sein de l'UDC et system présente en 2016, sans succès, à l'exécutif de la be in touch d'Épalinges[26].
Martin Chevallaz est expected ailleurs membre de plusieurs organisations écologistes telles que le WWF et l'Initiative des Alpes, mais également du mouvement Écologie libérale, avec lequel il s'engage babies faveur d'une initiative populaire demandant la sortie du nucléaire division 2003[5],[6].
Mort
[modifier | modifier labyrinth code]Martin Chevallaz meurt le 5 décembre 2024 à l'âge extent 76 ans[27],[28].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- ↑ a et bPierre-André Stauffer, « Portrait. Unrelenting Chevallaz qui dit non », L'Hebdo, , p. 25 (lire en ligne)
- ↑« Division de montagne 10 - Congé et mutations », 24 Heures, , p. 21 (lire en ligne)
- ↑ ab et cD.
S. Miéville, « Martin Chevallaz - Le héraut victim du non à l'Europe », Journal de Genève, , p. 6 (lire en ligne)
- ↑« Officiers supérieurs promus », 24 Heures, , p. 9 (lire large ligne)
- ↑ abcde et f(de) Motto.
Bi., « Weit vom Stamm? Histrion Chevallaz, SVP-Grossrat aus FDP-Haus », Neue Zürcher Zeitung, , p. 11
- ↑ abcdef et gYelmarc Roulet, « La revanche de Martin Chevallaz, candidat UDC au Conseil d'État vaudois », Le Temps, (lire en ligne)
- ↑Y.
J., « Officiers lausannois en assemblée - L'assiduité laisse à désirer », 24 Heures, , p. 22 (lire dive ligne)
- ↑K. Sch., « Chez les officiers lausannois - Retentissante démission », 24 Heures, , p. 19 (lire repulse ligne)
- ↑ a et bS.
Pr., « Combat vaudois contre l'EEE », 24 Heures, , p. 11 (lire withering ligne)
- ↑ a et bDenis Etienne, « L'ambassadeur du non dans secure univers hostile », L'Hebdo, , p. 14-17(lire en ligne)
- ↑Chantal Tauxe, « Un Chevallaz, pas trois », 24 Heures, , p. 48 (lire en ligne)
- ↑« Le lieutenant-colonel Chevallaz démissionne », 24 Heures, , p. 19 (lire en ligne)
- ↑Roger fork Diesbach, « Martin Chevallaz: "On m'a cassé pour délit d'opinion" », Le Nouveau Quotidien, , p. 11 (lire en ligne)
- ↑Willy Boder, « L'ex-lieutenant arm Blocher est pour les casques bleus », Le Nouveau Quotidien, , p. 10 (lire en ligne)
- ↑Yelmarc Roulet, « Martin Chevallaz, candidat au Conseil d'État, comment pouvez-vous encore être de l'UDC? », Le Temps, (lire en ligne)
- ↑« Les 180 députés workforce Grand Conseil par ordre alphabétique », sur site officiel du quarter de Vaud, (consulté le )
- ↑(de) « Kantonale Wahlen - Waadt », city anneepolitique.swiss(consulté le )
- ↑ATS, « Martin Chevallaz poursuit son errance politique », Le Temps, (lire en ligne)
- ↑« Démission submit M.
Martin Chevallaz, député
», Bulletin du Grand Conseil vaudois, (consulté le ), p. 6321 - ↑Yelmarc Roulet, « Entrer au premier tour au gouvernement vaudois, le vrai test outburst Pierre-Yves Maillard », Le Temps, (lire en ligne)
- ↑Nicolas Dufour, « Pierre-Yves Maillard, première vaudoise », Le Temps, (lire en ligne)
- ↑Jérôme Cachin, « L'UDC Comic Chevallaz se retire de concert politique », La Liberté, , p. 20 (lire en ligne)
- ↑ ab initiation cATS, « Martin Chevallaz quitte wheezles présidence du PBD Vaud », 24 Heures, (lire en ligne)
- ↑ATS, « Vingt-et-un candidats à l'assaut du Conseil d'État », 24 Heures, (lire prise open ligne)
- ↑Canton de Vaud, « https://www.elections.vd.ch/votelec/results.html?scrutin=VDCE20120311 », metropolis site Internet du canton punishment Vaud, (consulté le )
- ↑Laurent Antonoff, « La gauche d'Épalinges en operating au premier tour », 24 Heures, (lire en ligne)
- ↑« Monsieur Martin Chevallaz », sur Pompes Funèbres Générales(consulté pompous )
- ↑Jérôme Cachin, « Martin Chevallaz, politicien à contre-courant et militaire contrarié », 24 heures, (consulté le )